Semaine nationale de la Culture/ Bobo 2008 après le tsunami du 20 février
Semaine nationale de la Culture
Bobo 2008 après le tsunami du 20 février
Le top départ de
La ville de Bobo-Dioulasso renaît de ses cendres après les manifestations violentes des 20 et 21 qui avaient laissé derrière elles beaucoup de dégâts. Certainement qu’elle retrouvera le visage d’une ville animée et vivante avec cette fête pendant une semaine.
Le choix du thème : « Une éducation culturelle pour une jeunesse citoyenne » fait la part belle à la jeunesse qui non seulement connaît peu la culture burkinabè mais aussi semble perdre ses repère dans une mondialisation culturelle qui l’envahit. Mais qu’est-ce qui a été fait pour permettre au grand nombre de participer à la biennale culturelle ? Les ministères chargés des enseignements et de la jeunesse auraient pu conjuguer leurs efforts pour permettre une participation plus importante de la jeunesse. Ce qui permettrait de voir les richesses culturelles de leur pays. Les résultats seraient plus qualitatifs que les concerts géants organisés à leur honneur à coûts de millions. En somme, l’importance ne devrait pas être perçue seulement que lors de l’organisation du forum national des jeunes et de la journée nationale de la jeunesse.
Le choix de Monseigneur Anselme Tatiama Sanou, Evêque de Bobo-Dioulasso pour parrainer cette édition est un message. Parce que l’homme reste un repère dans l’opinion burkinabè. En effet, même en tant que prélat, il ne manque pas d’occasion pour montrer son attachement à ses racines.
C’est la troisième fois consécutive qu’un Burkinabè est choisi pour le parrainage de
Nous avons déjà participé à une édition de
Il y a assez de griefs à l’endroit des organisateurs de
Nabi Youssfou
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